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Augmentation Mammaire - Lipofilling

La graisse est prélevée en petits morceaux par liposculpture. Les sites donneurs sont les dépôts de graisse localisés dans la taille, sur le ventre, les hanches et les fesses, et sur la face médiale des cuisses et des genoux. S’il y a besoin de quantités supplémentaires, de la graisse peut être aspirée également de toute la face antérieure et médiale des cuisses.

Pour le lipofilling, la graisse est filtrée et injectée par des petites incisions de quelques millimètres seulement en sous-cutané et dans le sein.

La première et la dernière image des animations suivantes sont des photos "avant" et "après". La transition est une construction digitale.

Il y a des limites au volume qui peut être obtenu. La graisse transplantée ne peut survivre qu’en tissue sain avec une circulation sanguine suffisante. Si le volume injecté est trop grand, un plus grand pourcentage de graisse est résorbé de suite. Dans une seule opération, il est rarement possible d’augmenter autant qu’avec des prothèses mammaires classiques. Une combinaison d'implants et de lipofilling peut être utile pour les dames minces, afin de mieux couvrir le rebord de la prothèse et les ondulations de sa surface avec du tissu vivant.

L’augmentation des seins avec de la graisse autologue est une technique récente, qui ne s’est introduit qu’une dizaine d’année après l’utilisation de graisse pour restaurer le volume d’autres parties du corps, comme le visage et les fesses. Une femme sur neuf est confronté au cancer du sein au cours de sa vie. Ainsi, la transplantation de graisse dans les seins a été introduit avec une certaine réserve.

Le tissu adipeux produit certains hormones. Une partie des cellules transférés ne survit pas et forme des gouttes d’huile. Il y a d’autres opérations, comme la résection de tumeurs ou comme la réduction mammaire, chez lesquels il une partie du tissu adipeux peut nécroser. Dans la suite de ces autres opérations, une élévation du risque de cancer du sein n’a jamais été prouvé.

Les gouttes d’huile peuvent provoquer des calcifications microscopiques. La distinction entre celles-ci et les microcalcifications qui émanent d’un cancer du sein est une mission additionnelle pour le radiologue qui évalue la mammographie. La mammographie est un examen important pour le dépistage précoce du cancer du sein.

Depuis qu’il y a des données sur des centaines de patientes des pionniers de la transplantation de graisse chez qui il y a déjà une suivie de plus de dix ans, ce traitement est effectué de plus en plus. Néanmoins, l’expérience documentée n’est pas une preuve statistique sur l’effet au cours de toute une vie humaine. Il n’y a pas de traitement médical sans aucun risque. Il faut peser le pour et le contre des avantages, des désavantages et des incertitudes sur la transplantation de graisse en comparaison avec l’augmentation mammaire aux prothèses.

L’opération nécessite une hospitalisation de jour, ou, pour les volumes plus grands, un séjour d’une nuit à l’hôpital. La douleur est moyenne. Elle implique l’usage d’antidouleurs forts pendant un à deux jours. Elle est comme la douleur et la raideur après un effort sportif excessif pendant deux à trois semaines. Les seins sont gonflés et plus fermes que normalement. En général, le volume qui reste après trois mois est le volume durable. Les risques d’irrégularités, d’une forme imparfaite, d’endurcissements qui persistent plus longtemps que normalement ne peuvent jamais être exclus complètement.

Après une lipostructure des seins, les patientes sont tenues à se faire examiner régulièrement. La suivie détaillée comprend un examen régulier par le chirurgien plasticien et le gynécologue, l’échographie, l’imagerie par résonance magnétique (IRM), et pour certains groupes d’âge la mammographie.